Maladie, travaux, frais de scolarité en retard et bien d’autres raisons justifient un besoin pressant d’argent. Face à l’urgence de la situation, l’emprunteur ne sait pas parfois où donner de la tête. En y réfléchissant calmement, il s’aperçoit, qu’il existe plusieurs options.
Opter pour le crédit rapide et sans justificatif
La multiplication des banques en ligne facilite l’accès au crédit rapide et sans justificatif. Ces organismes de prêt proposent des offres de financement qui vient à point. Les fonds sont débloqués en moins de 48 heures pour la plupart des prestataires. L’accord de principe s’obtient presque instantanément lorsque le demandeur d’emprunt remplit le simulateur. Après cette première étape, il faudra constituer un dossier. Cette requête comprend normalement des pièces justificatives. Ce qui ne devrait pas faire l’objet d’amalgames. Le créancier exige une carte d’identité ou des bulletins de paie, mais ne demande pas le motif du prêt. Quoi qu’il en soit, la somme convenue est versée sur le compte de l’emprunteur si son dossier passe l’épreuve des vérifications. Aux côtés des banques en ligne, les institutions conventionnelles proposent aussi des aides financières d’urgence. Elles accordent surtout les crédits rapides aux clients qu’elles connaissent déjà. À titre d’exemple, de l’argent peut être débloqué dans un bref délai pour éviter une découverte pénalisante.
Penser au prêt entre particuliers
Le prêt entre particuliers peut s’effectuer dans le cercle familial. Les grands parents, oncles ou cousins pourront dépanner en cas de besoin d’argent urgent. Ces proches et amis peuvent octroyer la somme convenue sans taxer un intérêt. Toutefois, les deux parties ont l’obligation de coucher l’accord sur papier si la transaction dépasse les 750 euros. À partir de ce montant, il est recommandé de signer un contrat ou une reconnaissance de dette. Ceux qui prélèvent une rémunération sur le capital octroyé devront faire une déclaration. Le bénéfice dégagé par la mise initiale devrait figurer sur la feuille d’imposition. Cette même règle s’applique sur les plateformes de prêt entre particuliers. Ces sites servent de facilitateurs. Certains de ces opérateurs jouent le rôle de pépinière de projets. Ils se constituent carrefours entre les investisseurs et les demandeurs de financement participatif.
Envisager les organismes de microcrédits
Les entreprises de microcrédits ont parfois une vocation sociale. Elles apportent leur aide aux emprunteurs recalés par les bailleurs traditionnels. Ce sont généralement des personnes écartées du système bancaire classique à cause de leur profil. Après le refus de son crédit rapide et sans justificatif, un chercheur d’emploi peut se tourner vers la microfinance. Les prestataires dans ce domaine octroient de l’argent pour ceux qui sont dans le besoin. Ils accordent également de l’attention à ceux qui devront suivre un programme de réinsertion sociale. Le fonctionnement est similaire à celui des banques sauf pour le montant engagé. La somme mise à disposition du demandeur d’emprunt est assez faible, mais cet argent peut être salutaire. Enfin, les prêteurs sur gages sont à éviter, quel que soit le besoin financier. Ce système peut induire dans des situations particulièrement désagréables, notamment la saisie des objets hypothéqués.